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Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. »

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Lawrence B. Berrywell
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Lawrence B. Berrywell

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MessageSujet: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 0:53

Lawrence Bartholomew Berrywell

Je m'appelle Lawrence Bartholomew Berrywell mais mes proches et mes amis me surnomment Law, Laurie...ou autrement, peut-être, mais je l'ignore encore! J'ai montré le bout de mon nez le 25 juin 2004, il y a maintenant 17 ans. Étant un(e) sorcier(ière) de sang pur, je possède une baguette magique en épicéa qui contient un nerf de coeur de dragon et mesure 25,06 centimètres . Je suis en septième année à Serpentard et malgré tout ce qu'on peut dire, je garde les pieds sur terre. D'ailleurs beaucoup de personne disent que je ressemble à Sebastian Stan. Oh avant que j'oublie ou que tu entendes des rumeurs à mon sujet je suis célibataire et/ou en couple selon les moments et je l'assume pleinement (ou pas).
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« Je suis trop égoïste pour ne pas m’intéresser aux autres car ils sont mon avenir. »

Egoïste, je le suis, certes. L’altruisme n’a pas été inventé pour moi. J’ai aussi une certaine tendance au « je m’en foutisme ». Pour autant, cela fait-il de moi un être replié sur lui-même, dénué de toute attention pour les autres ? Non. Paradoxe ? Non, une fois encore. Le fait est, que nous le voulions ou non, que nous ne pouvons vivre sans les autres. Autant ne pas se les mettre tous à dos, n’est-ce pas ? Et de toute façon, qui a déjà vu une action totalement désintéressée, pure de toute intention personnelle ? Même lorsqu’on se sacrifie pour une juste cause, on espère une récompense, un retour sur investissement, si vous voulez. Que ce soit seulement la gloire, le plaisir d’avoir fait une bonne action… Il y a toujours une part d’égoïsme derrière tout acte héroïque ; je dirais même que plus on est égoïste, plus l’acte est généreux, altruiste. Parce que cela fait monter le retour en proportion. Qui prétend le contraire est soit un menteur, soit un saint. Et personnellement, j’ai davantage rencontré de gens bien-pensants relevant de la première catégorie, que de membres de la seconde.
Sincèrement, je peux me montrer attentif et dévoué pour mes plus proches amis ou les personnes auxquelles je tiens particulièrement. Pour elles, je serais prêt à tout (vaut-il la peine de citer ma cousine Charlotte en exemple ?), vraiment. C’est égoïste, sans doute, parce que je ne saurais vivre sans ces (cette ?) personnes. Alors, pour me préserver, il me faut les préserver aussi.

« … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » [Baudelaire]
Je suis joueur et je prends la vie comme un jeu. C’est, pour moi, la seule façon de l’envisager pour éviter de sombrer dans l’ennui ou le sérieux. Cela redonne quelque relief à un quotidien qui serait plutôt morne sans cela. Il n’y a qu’à voir les jeux auxquels nous nous livrons sans cesse, Charlotte et moi. Voilà ce qui rend la vie attrayante, passionnante… Le jeu est le domaine de ce qui pourrait être, de ce qui pourrait advenir ; le lieu de tous les hasards et de tous les possibles. J’aime cette tension qu’il y a, cette sensation d’entre-deux, cet instant du jeu où l’on sent que tout peut basculer d’un côté ou de l’autre, où en un coup, on peut ou tout perdre ou tout gagner en un geste magistral.
Que ce soit par un défi ou un pari, je ne recule jamais devant les challenges. Tout est occasion de jeu, que ce soit une simple partie d’échec ou la manipulation d’une personne. Je joue tous les jeux, des plus simples aux plus mortels, et je les gagne. C’est ainsi.
Ma passion pour le jeu va de paire avec mon côté espiègle et drôle. Plaisanteries, farces, piques ou reparties cinglantes, finement placées…je peux me comporter comme un vrai gamin, parfois. Et franchement, je crois que les enfants ont tout compris à la vie. Mieux que personne, et surtout bien mieux que n’importe quel adulte, ils savent rire et jouer. C’est si regrettable qu’ils perdent cette capacité en grandissant pour se concentrer sur des choses d’une banalité à pleurer.

« Sans ambition, il n’y a pas de talent » [Nina Berberova]

Et du talent, j’en ai à revendre, ce qui vous dit la hauteur de mon ambition (et de mon manque de modestie, aussi, peut-être…C’est une question sur laquelle je me pencherai un autre jour). Je veux réussir dans la vie et l’ambition est la moindre des choses pour y parvenir. Toujours viser le plus haut pour l’atteindre, ne jamais se contenter de la seconde place : voilà mon but. Je veux briller.
Naturellement, l’ambition s’accompagne de la prétention. En même temps, les autres sont tellement prompts à vous dévaloriser ; il faut bien que quelqu’un me donne mon lot quotidien de compliments et si ce quelqu’un est moi-même, où est le problème ? Je n’en vois aucun pour ma part. Se convaincre qu’on est meilleur que les autres, cela joue une grande part dans la réussite.
Et je suis fier, en plus ; je supporte mal l’échec ou que l’on prive de ce qui me revient de plein droit. Ambition, prétention, fierté : c’est un cocktail explosif ; attention à ceux qui auraient la folie de se mettre en travers de ma route. C’est à leurs risques et périls… Je suis rancunier et n’oublie rien facilement. Il faut beaucoup pour se faire pardonner.

« Quiconque a sondé le fond des choses devine sans peine quelle sagesse il y a à rester superficiel. C’est l’instinct de conservation qui apprend à être hâtif, léger et faux. » [Nietzsche]

La superficialité n’a jamais fait de mal. Pourquoi s’embarrasser des choses austères de la vie, du nécessaire, alors qu’il y a tant de plaisir dans l’inutile et la légèreté ? Le vain, l’éphémère, le superficiel, tout ce qui est paillettes et illusions…J’aime cette vie brillante, clinquante, même si je suis conscient de sa vacuité. La pourriture qui gâte les fruits dorés de la vie des sang-pur m’est clairement perceptible. Pour autant, pourquoi essayer de réparer ce qui ne peut l’être ? M’établirais-je en blanc chevalier pour restaurer la pureté de mon univers, pour y faire revenir les belles valeurs ? Non. L’or de la considération, les apparences, les belles choses…tout cela compte trop pour moi.
Cela se voit d’ailleurs à mon apparence soignée, quels que soient le lieu et les circonstances. On pourrait se demander quel intérêt il y a à être toujours présentable, même lorsqu’il n’y a personne à impressionner. La réponse est évidente mais fait défaut à tous ceux qui manquent de raffinement : le style est tout. Pour être un homme puissant, il suffit simplement d’en avoir l’air. Les gens sont si prompts à s’illusionner ! Une tenue arrangée, soignée, un sourire joué à la perfection et l’on vous donnerait Merlin et Morgane sans confession ! Je veux ressembler à tout mais certainement pas à une victime. Style, classe et superficialité comptent parmi mes maîtres-mots.
Bien évidemment, cela montre à quel point je peux être hypocrite et roublard. Malin, aussi. J’aime illusionner et tromper les autres. Faux-sourires, faux-semblants…tous les moyens sont bons pour perdre les autres en vaines conjonctures. Je sais me composer l’attitude, le visage qui conviennent exactement à chaque situation en évitant de laisser paraître mes sentiments réels.


« Voir souffrir fait du bien, faire souffrir plus de bien encore – c'est une dure vérité, mais une vieille, puissante, capitale vérité humaine » [Nietzsche]

On peut dire de moi que je suis sadique aussi, que j’aime dominer les autres, assurer mon pouvoir sur eux. C’est vrai. Pourquoi m’en cacherais-je ? C’est une autre forme de jeu et c’est jouissif. Tous ceux qui s’y sont essayés, qui ont mesuré un jour l’emprise qu’ils pouvaient avoir sur leurs semblables connaissent ce sentiment d’orgueil et de vanité, de toute-puissance, que l’on éprouve lorsque l’on voit l’autre à terre, vaincu et suppliant.
J’aime faire souffrir les autres physiquement mais aussi et surtout mentalement. La souffrance physique est moindre à mes yeux ; je la trouve trop brute, trop rapide aussi. Pas assez raffinée, bien que certains supplices, lents et douloureux, remplissent cette exigence. En revanche, manipuler, séduire, encercler l’esprit de l’autre, détruire toutes ses défenses, le mener au bord de la rupture, pour finalement le briser –voilà ce qui me plaît et que j’aime mettre en œuvre.

« L’âme du diable se joue de la beauté de l’ange »

Malgré ce portrait, je suis intouchable. À Poudlard, les professeurs me connaissent comme un élève souriant, aimable. Policé. Beau et sportif, qui plus est. Jamais de vagues, ni de heurts… Non vraiment, l’élève et le fils rêvés ! Si seulement ils savaient… Mon côté charmeur les a séduits depuis longtemps et ils ne me soupçonneraient jamais de la moindre vilenie. Sans doute faudrait-il qu’ils me surprennent en pleine action. Et encore, je ne suis pas certain que cela suffirait à revoir entièrement leur jugement sur moi. Après tout, tout le monde a droit à l’erreur et à se voir offrir une seconde chance…
Bien sûr, mon charme ne me sert pas uniquement à amadouer les enseignants. Le jeu de la séduction m’amuse volontiers et j’use de tous les avantages que m’a conférés la nature pour charmer la gente féminine qui se laisse aisément prendre dans mes filets… Malgré ce qu’elles en disent, les filles sont toujours à la recherche du prince charmant. Dommage que celui-ci n’existe pas.
More about me
En ce qui concerne mon physique, je ne suis pas certain d’être le mieux placé pour en parler. Un brusque accès de modestie ? Non, pas vraiment. Simplement, la gente féminine serait mille fois plus apte à en parler que moi. Et plus douée. Les filles ont un talent incroyable pour décrire la beauté masculine et je ne crains de ne pas leur arriver à la cheville sur ce terrain. Vous connaissez tous le « Oooooooh, il est troooooooooooooooop beaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaau ! », hurlé (ou glapi) d’un ton suraigu, avec des petits battements de mains. Vous l’avez sûrement entendu, même s’il ne s’appliquait pas à vous. Dommage pour vous. Je l’ai vécu, et je vous assure que c’est très drôle de voir ensuite ces charmantes demoiselles se plonger dans des discussions passionnées en chuchotant pour savoir si elles peuvent venir vous aborder, si elles sont bien coiffées, bien maquillées, bref présentables et pas trop pathétiques. Tout cela sans que leurs regards cessent de vous suivre.
Enfin, inutile de m’attarder plus longtemps : vous saisissez l’idée, je pense. Je suis beau, je le sais. C’est un fait.
Pour ceux qui auraient eu le malheur de ne jamais me voir et qui ont la flemme de regarder en haut à gauche, voici un bref portrait de ma personne, donné en toute impartialité. Je suis plutôt grand, dépassant le mètre quatre-vingts. Mes cheveux, d’un châtain foncé, sont toujours parfaitement coiffés : je fais attention à mon apparence et celle-ci est toujours soignée. Je porte l’uniforme avec élégance, même si le week-end, je trouve que chemise et pantalon de bonne coupe, agrémentés d’une veste me vont bien mieux. J’ai le goût sûr : inutile de chercher la faute ou l’erreur dans ma tenue. Le monde superficiel dans lequel j’ai grandi m’a au moins appris cela, et j’avoue que je n’éprouve que mépris pour ceux qui ne savent pas accorder les couleurs ou portent des vêtements démodés. Dernier signe de l’univers auquel j’appartiens : l’or discret de la chevalière que je porte comme il se doit à l’annulaire gauche. Les armes ancestrales des Berrywell ne me quittent jamais.
J'ai de magnifiques yeux bleus, selon les mots de ma chère cousine, et mon regard est décrit comme charmeur et séducteur, de même que mon sourire. Les filles fondent facilement lorsqu’un léger sourire me creuse une fossette dans la joue. Le sourire angélique leur est aussi destiné, ainsi qu’aux enseignants. Ces derniers n’y voient que du feu et pensent que je suis un charmant garçon, poli et aimable. Ils oublient –tant mieux– que les apparences sont souvent trompeuses. Pour des gens qui enseignent la magie et tous ses sortilèges qui permettent de changer de forme, je trouve ça quelque peu…regrettable. Ils perdent en crédibilité. Mais je m’égare.
Je suis sportif, pratiquant le Quidditch avec assiduité, et cela se voit dans mon allure. Je suis également escrimeur, même si je n’ai pas vraiment l’occasion de pratiquer à Poudlard.
Voilà, je pense avoir dit l’essentiel, en m’abstenant au mieux d’employer les superlatifs ordinairement usités par la gente féminine.

Un mot sur mes goûts, peut-être ? J’aime les belles choses, dans tous les domaines. Que ce soit les demoiselles, les œuvres d’art, la gastronomie (de fait, j’ai un léger faible pour la nourriture française, je ne dis jamais non aux grands crus de ce merveilleux pays)… Je ne suis pas non plus un esthète ; peut-être est-ce le fait d’avoir grandi dans l’environnement superficiel de ma mère qui m’a donné ce goût-là. En conséquence, la disgrâce physique, un objet laid, une nourriture de mauvaise qualité me gênent plus qu’il ne faudrait.

PSEUDO :Lawrence, Law, LauriePRÉNOM : On va dire le même que le pseudo Wink ÂGE, PAYS : 21 ans – France VOTRE AVIS SUR WIZ : Le forum m'a l'air bien sympathique =) OÙ L'AVEZ-VOUS CONNU : Par la fondatrice, sur un autre forum CODE RÈGLEMENT : Validé par Queen C. ou Cha pour les intimes Love CRÉDIT : Crédit bann. UN DERNIER MOT? :Je ne remercierai jamais assez Charlotte de m'avoir proposé son scénario, parce que le lien entre elle et Lawrence déchire tout! =D

©️Maat


Dernière édition par Lawrence B. Berrywell le Dim 16 Déc - 22:52, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 1:02

your story


Il est de bon ton, paraît-il, lorsqu’on atteint un âge certain ou, du moins, un certain âge, de prendre la plume pour écrire ses mémoires. Qu’importe que votre vie ait été palpitante –je n’oserais en douter, mais je ne l’ai pas vécue- ou non ; du moment que vous écrivez, votre récit prend un relief tout particulier et les honnêtes gens, de peur de paraître ignorants des dernières modes, se ruent sur votre prose, la savourent et la commentent ensuite d’un air pincé dans les salons. Pour ma part, connaître les vices et les vertus d’autrui ne m’a jamais tenté, il suffit d’apprendre à observer pour que chacun à travers ses gestes quotidiens dévoile ses misères et ses joies. Alors, pourquoi me plier aujourd’hui à cet exercice, d’autant que je n’ai que dix-sept ans et encore de longues années devant moi (du moins, je l’espère) ? Sans doute pour jeter un premier regard en arrière sur ce que furent mes jeunes ans. Peut-être aussi, lorsque viendra véritablement le temps d’écrire ces mémoires, pour me souvenir de celui que j’étais à cet âge. Ou pour m’assurer que je ne perds pas complètement la mémoire. Mais entrons dans le vif du sujet.
Comme pour tout sang-pur qui se respecte, il convient de faire un petit tour du côté de l’arbre généalogique, ce magnifique sésame qui nous ouvre toutes les portes de l’élite du monde sorcier et nous permet de regarder le reste du monde du haut de notre supériorité. Des racines à la pointe des feuilles, l’arbre des Berrywell ne portait nulle trace de pourriture ou de moisissure, ne comptait aucun vers. Pour aujourd’hui, je vais me contenter de remonter jusqu’à mes grands-parents (effacez-moi ces mines soulagées, ce n’est pas par égard pour vous : pour moi non plus, les manuels d’histoire familiale, ce n’est pas ma tasse de thé. Rien à faire des siècles passés, l’actuel me suffit). Pretorius et Gladys Berrywell. Ils font partie des rares personnes que j’admire et adore. D’une certaine façon, je pourrais dire qu’ils sont précieux. Ils sont amoureux, aimants, très élégants. Tout est en accord chez eux, au point qu’ils n’ont plus besoin de mots pour se comprendre. C’est peut-être un relent de sentimentalisme qui s’est attardé chez moi, mais je trouve cela beau. Je voue un immense respect à mes grands-parents et je suis toujours ravi de passer une partie de mes vacances chez eux.
Dommage que le respect perde en force à la génération suivante. Celle de mes parents, oui, pour ceux qui suivent. Mon père, Bartholomew, est le second fils de mes grands-parents et leur fierté. Normal, d’un certain côté : il a tout pour lui. Brillant, intelligent, choyé. Il a accompli tous les vœux de mes grands-parents, a réussi une magnifique carrière au Ministère (je n’ai jamais su en quoi elle consistait exactement. Très passionnante certainement, vu le peu de fois où je l’ai vu dans mon enfance. Vous est-il déjà arrivé, à la fin d’un dîner, de saluer un homme comme s’il s’agissait d’un parfait inconnu et de découvrir ensuite qu’il s’agit de votre propre père ? Moi, oui… C’est assez étrange comme sensation). Bref, il a aussi été Mangemort (ça, c’est pour le quart d’heure orientation familiale, même si le terme sang-pur a déjà dû vous attirer l’œil), j’ai hérité de son égoïsme et de sa fierté. Il a épousé la femme choisie par ses parents, ma mère, donc. Mariage arrangé, bien sûr, ou du moins, je n’ai pas encore vu où se trouvait l’amour entre eux deux. Sans doute bien enfoui quelque part, enseveli sous tout un tas de choses plus importantes.
Et je suis arrivé quelques mois plus tard. Lawrence/Law/Laurie (aucune mention inutile si vous êtes un proche ; pour les autres, contentez-vous du prénom, ce sera suffisant) Bartholomew Berrywell, né le 25 juin 2004, au manoir Berrywell. Llanberis, Pays de Galle, si jamais la géographie vous intéresse. Ne me demandez pas comment. Je suis la seule preuve au monde que mes parents ont fait une fois au moins chambre commune. C’était sans doute une des clauses du contrat de mariage. Quelque chose comme paragraphe III, alinéa C, petit 4 : « Assurer la pérennité de la famille ». Mission accomplie. Brillamment, d’ailleurs, vous pouvez me croire sur parole. Cela les a pleinement satisfaits, puisqu’ils n’ont jamais tenté de renouveler l’exploit. Par crainte d’avoir un modèle moins réussi ? Peut-être. Ou, tout simplement, ont-ils oublié le chemin pour se rendre jusqu’à la chambre de l’autre. Bref, le fait est que je suis resté fils unique.
De tout cela, vous pouvez aisément déduire que ce n’était pas l’amour porté à leur unique enfant qui étouffait mes parents. Je ne voyais que très rarement mon père, qui ne semblait pas bien voir l’intérêt qu’il y avait à s’occuper de moi, ou qui ignorait simplement ce dont avait besoin un enfant. En même temps, il est aisément pardonnable : il avait tellement de choses plus passionnantes à faire à côté ! J’aimerais bien qu’il m’en parle un jour. Je les trouverais sans doute tout aussi intéressantes (du moins, j’essaie de m’en convaincre). Ma mère…eh bien…de l’amour sans doute, mais discret. Trop. Invisible, presque. Non, ce n’est pas tout à fait exact. J’ai grandi comme un petit prince, gâté, choyé, obtenant tout ce que je désirais. La belle vie, n’est-ce pas ? Sans doute est-ce là que j’ai acquis mon côté superficiel.
Ma mère se passionne pour les thés mondains, les réunions entre amies, les papotages, ce genre de choses. Quand j’étais enfant, l’un de ses grands plaisirs était de m’exhiber comme un enfant modèle. « Bonjour, madame, quel plaisir de vous recevoir en notre demeure… », « Bonsoir monsieur, je suis enchanté de vous rencontrer, ma mère ne cesse de parler de ce que vous accomplissez… ». C’est beau, n’est-ce pas, de telles phrases dans la bouche d’un enfant de huit ans ? Moi, dans ces moments, je me sentais un peu marionnette, un peu chien savant. Ou comme ces jouets précieux qu’on sort de leur boîte uniquement pour les vanter auprès des autres, mais qu’on laisse prendre la poussière ensuite… J’étais sans doute une sorte de vitrine pour ma mère, l’illustration parfaite de la réussite de notre famille. D’une certaine façon, j’étais la garantie de son statut de mère apte à élever correctement sa progéniture. C’était la seule manifestation d’intérêt qu’elle me montrait. En conséquence, aujourd’hui, mes relations avec mes parents sont assez distantes. Disons que nous avons chacun nos vies, que nous partageons la même maison mais que nous nous contentons de nous y croiser. Nous sommes davantage que des voisins de palier, mais nous ne partageons pas la réelle intimité d’une vraie famille. Vous vous demandez sans doute si j’aime mes parents. Je me contenterai de répondre que je les respecte. Ce sont mes parents, après tout. Mais que l’on n’attende pas de moi des exemples de piété et de dévouement filiaux. Je ne suis pas de ceux qui tentent tout, désespérément, pour gagner l’affection de leurs parents. Je trouve cela vain et inutile. C’est aussi le plus sûr moyen de gâcher sa vie. J’en ai connu, des jeunes sang-pur prêts à tout pour être à la hauteur des attentes de leurs parents : ils ne faisaient que se rendre malheureux. Il est tellement plus facile d’accepter la situation et de se construire ailleurs. Cynique ? Non. Lucide, simplement.

Sans doute aurais-je réagi différemment si je n’avais pas eu mes grands-parents et ma cousine, Charlotte. J’adore mes grands-parents et je les respecte infiniment. Et cet amour n’est rien à côté de ce que j’éprouve pour Charlotte, ma cousine germaine, la fille de mon oncle. Les gens doivent nous prendre pour des fous, nous le savons et nous en jouons volontiers. Mais le fait est qu’ils ne comprennent pas, qu’ils ne peuvent pas comprendre. Cha et moi…je crois vraiment que nous aurions dû être jumeaux, que nous l’avons été dans une vie antérieure. Peut-être y a-t-il eu erreur dans ce monde-ci. Nos vies sont faites pour se conjuguer ensemble, jamais au singulier. En tous cas, nous avons grandi ensemble, partagé tous les moments importants de notre enfance. La découverte de la magie par exemple. J’avais six ans lorsque mon don s’est manifesté pour la première fois. Nous jouions au Quidditch dans le parc du manoir (je ne vous le décris pas, vous imaginez sans doute la magnificence de l’endroit. Et si vous n’y parvenez pas, c’est encore mieux : vous commencez à approcher la mégalomanie et l’arrogance de certains sang-pur qui craignent de se sentir à l’étroit dans plus de 5000 m² habitables, et jugent honteux que la moindre bougie n’ait pas un support en cristal. Le parc est à la hauteur de la demeure naturellement, au cas où la promiscuité forcée nous dérangerait. Topo fait, je referme la parenthèse). Nous jouions donc, lorsque, en m’essayant à une figure de voltige sur mon balai, je suis tombé. Visiblement, il n’était pas d’accord pour que je me tienne debout dessus, en équilibre sur un pied. Evidemment, pour rendre le jeu encore plus drôle, j’avais décidé de jouer le voltigeur à une certaine hauteur.
Non, ne vous en faites pas, si je suis encore là pour écrire ces lignes, c’est que j’ai survécu. De fait, mon pouvoir a eu l’intelligence (ou l’instinct de survie) de se manifester à cet instant, et j’ai doucement plané jusqu’au sol, où je me suis posé en douceur. Merci la magie, sinon l’héritier des Berrywell aurait connu une fin tragique, et mes parents auraient été d’autant plus tristes qu’ils auraient dû recommencer la tâche dont ils s’étaient rapidement débarrassés au début de leur mariage. À savoir : avoir un nouvel héritier. Bref, tout cela pour dire que Charlotte et moi avons fait toutes les bêtises possibles et imaginables, inventé mille sottises, exploré ensemble les moindres recoins de nos demeures pour trouver des passages secrets. Batailles de confiture, de polochon, d’objets divers… nous avons tout fait subir à nos grands-parents. Nous aimions aussi dormir ensemble, quand nous étions enfants. Je ne sais pas si nos grands-parents l’ont su. Nous nous retrouvions la nuit pour parler encore, avant de nous endormir l’un contre l’autre. Un simple « bonne nuit » clôturait nos discussions et nous sombrions dans le sommeil, paisiblement. Le caractère incestueux, malsain de notre relation ne nous était pas perceptible mais nous savions malgré tout que notre attitude déplairait à notre famille. Que ce n’était pas ce qu’on attendait de nous, même si nous en ignorions les raisons. Alors, le matin, je me réveillais toujours à l’aube pour retourner en toute discrétion dans ma chambre. C’était notre plus grand secret.
Vraiment, je ne pourrai pas vivre sans Charlotte. On a dû partager notre âme à la naissance, chacun de nous en possède une moitié, et nous ne sommes vraiment heureux et complets que lorsque nous sommes réunis. L’intensité fusionnelle de notre relation me dépasse parfois, encore aujourd’hui. Le genre d’amour qui emporte le monde dans ses tourbillons, pour le réduire au cendre ou l’élever au faîte de sa gloire. Cet amour d’enfant n’a jamais cessé, même lorsque nous sommes entrés à Poudlard. Au contraire.

Comme tout enfant sorcier qui se respecte, j’ai reçu ma lettre du château au cours de l’été qui a suivi mon onzième anniversaire. J’avais hâte de découvrir l’école, mais j’étais triste à l’idée de me séparer de mes grands-parents. Heureusement que Charlotte y entrait en même temps que moi, sinon je ne sais pas comment nous aurions fait. Peut-être McGonagall nous aurait-elle accordés une dérogation exceptionnelle ?
Nous avons fait nos courses ensemble sur le Chemin de Traverse, cet été-là, en compagnie de nos grands-parents. Pour nous, il ne pouvait en être autrement. Je me rappelle bien des derniers jours de ce mois d’août où nous élaborions ensemble nos projets pour Poudlard, où nous commencions à décider de ce que nous ferions aux autres élèves. Depuis quelques années, l'école accueillait des vampires parmi ses étudiants; certains les craignaient. Pour ma part, je n'éprouvais qu'une vague curiosité à leur égard... Du moment qu'ils savaient s'amuser et que nous avions quelques points communs, rien ne m'empêchait de les fréquenter.
Le jour de la rentrée, nous avons pris le Poudlard Express ensemble. C’était une nouvelle aventure que nous vivions. Par bonheur, nous avons tous deux été répartis dans la même maison. Serpentard. Comment aurait-il pu en être autrement ? Nous sommes tellement semblables ! Nous ne pourrions plus partager la même chambre, comme nous le faisions pendant les vacances, mais au moins, nous ne serions plus séparés par nos parents respectifs. Ceux de Charlotte vivent à New-York et c’était un crève-cœur que de la voir partir aussi loin à chaque fois.
Mêmes cours, mêmes horaires… Bien sûr, cela ne veut pas dire que nous étions toujours l’un avec l’autre. Nous nous aimions au point de savoir nous dire au revoir et nous rejoindre par la suite, avec encore plus de bonheur. Ce n’était pas une trahison, puisque jamais ne nous quittait la certitude que, quoi qu’il arrive, nous nous retrouverions. Je crois que c’est l’une de mes plus grandes croyances aujourd’hui : quoi que nous ayons fait, quoi que nous ayons vécu, Charlotte et moi partirons ensemble. La mort est la dernière aventure…Il me paraît inconcevable que nous la vivions chacun de notre côté. Bref.

Ainsi, même si Charlotte me suffisait, je me suis fait de nombreux amis à Poudlard, surtout attirés par la fortune familiale et le respect porté à mon nom dans le monde sorcier. Mon caractère joueur, je m’en foutiste les prenait souvent au dépourvu mais je ne m’en souciais guère. Poudlard était mon nouveau terrain de jeu, et je comptais bien l’exploiter au maximum. Entre les défis fous, les challenges relevés entre amis (les promenades de nuit dans la Forêt interdite, les vadrouilles dans les couloirs, bref, tout ce que les élèves de Poudlard ont toujours fait depuis la nuit des temps), je prenais également plaisir à humilier certains élèves, à les rabaisser plus bas que terre. Amusement cruel d’enfant gâté, qui a le monde à sa disposition. C’est amusant de voir à quel point l’avis des autres (et surtout de quelqu’un comme moi) peut compter pour le commun des mortels. Quelques phrases bien placées peuvent mettre un ego en miettes. C’est jouissif. Un plaisir que je partageais souvent avec Charlotte, il va sans dire. Si elle était la Reine, sans doute étais-je le Prince. Nous jouions une immense partie d’échecs à travers les couloirs du château, et les autres, élèves comme professeurs, étaient nos pions. Nous manipulions les autres, sans jamais nous faire prendre.
Ce qui nous amusait le plus –et nous amuse encore aujourd’hui– était le regard que les gens portaient sur nous. Ils ne savaient que penser de notre relation. Cousins, certes, mais encore ? Meilleurs amis ? Amoureux ? Frère et sœur ? Tout cela à la fois, et ils ne peuvent le concevoir. Cela ne rentre pas dans leurs catégories, dans leurs petites cases bien étiquetées et séparées. Charlotte et moi explosons ce genre de conceptions étriquées, étroites et nous n’en vivons que mieux. Nous mettons tout en œuvre pour brouiller les pistes, jouer avec les autres, échangeons baisers et câlins. Ils cherchent à comprendre. Ils n’y arrivent pas. Normal.

Les années à Poudlard se sont déroulées sur ce mode. La routine de l’imprévisible, si on veut. Mon caractère joueur m’entraînait toujours plus vers davantage de nouveautés, tandis qu’avec Charlotte, nous exercions notre malignité contre nos malheureux condisciples. Nous avons commencé assez tôt à nous exercer à la magie noire, tous les deux. Une façon de faire fructifier notre héritage familial: les hippogriffes ne font pas des Sombrals, et je nous voyais mal développer un soudain penchant pour la magie blanche et les bons sentiments. La guimauve, très peu pour moi. Nous avons donc appris beaucoup de sorts et certains élèves de Poudlard en ont fait les frais à diverses reprises. Bon, à force de me lire, vous allez vous dire qu'humiliation et rabaissement d'autrui étaient mes seules occupations. Que nenni.
Poudlard est une école mixte -et heureusement! Je suis beau, je le sais, et n’ai pas hésité à en profiter pour séduire les filles. Elles se laissent aisément prendre, inconscientes du fait que depuis toujours, mon cœur n’appartient qu’à une seule personne. Alors, je butine ici et là, m’amuse avec unetelle, passe du temps avec telle autre, toujours assoiffé, jamais rassasié, parce que je ne connais qu’une source qui saurait m’apaiser.
Il y a un aspect de la vie à Poudlard que je n’ai pas encore évoqué. Les cours. Oui, il paraît qu’on vient ici pour étudier. Je ne suis pas le meilleur élève de ma classe, parce que je ne me fatigue pas beaucoup. En travaillant plus, je pourrais certainement atteindre l’excellence. Mais je n’en ai pas envie. Ce côté studieux ne m’intéresse pas. Il y a tellement mieux à faire que perdre son temps dans les livres ! Bon, j’avoue aussi qu’une mauvaise note de temps en temps me permet d’avoir des nouvelles de mon père. Il doit avoir un schéma de lettre pré-établi, qu’il n’a plus qu’à dater et signer avant de l’envoyer, tant ses courriers se ressemblent tous. Mais c’est toujours ça de pris, on va dire. Il ne s’est jamais soucié de ce que je pensais : il n’a même pas pris le temps de m’intéresser à ses valeurs, à ce qui l’avait poussé sur la voie des Mangemorts. Pour ma part, je n’en ai pas grand-chose à faire. Les valeurs, tout ça…je m’en passe plutôt bien. Pas de carcan, pas de contraintes ni de devoirs à remplir. La belle vie en somme. Certains disent qu’on ne peut vivre sans absolu. Je ne dis pas le contraire. Mais moi, je l’ai déjà trouvé, mon absolu (je ne remets pas son nom, vous avez compris).

Nous avons… J’ai atteint (oui, je suis censé parler de ma vie, pas de celle de Charlotte mais elles sont tellement liées. Le « nous » nous va tellement mieux que le « je » !) la cinquième année et donc le niveau des BUSEs. Bah…elles sont passées, quoi. Je n’en garde pas un souvenir mémorable. Mes résultats ne l’étaient pas non plus, je crois. Je les ai vite oubliés. J’ai gardé autant d’options que possible puisque j’ignore encore ce que je veux faire de ma vie. Ce n’est pas une question qui nécessite une réponse urgente, alors je laisse couler. Maintenant que je suis en septième année, il faudrait peut-être que je m’y intéresse davantage. Mes grands-parents m’y poussent doucement d’ailleurs, dans leurs lettres. Ce n’est jamais un reproche, mais ils s’inquiètent un peu quand même. Je fais durer, c’est bien d’avoir ce genre de lettres.

Néanmoins, je sens que cette dernière année ne sera pas de tout repos. Non que les autres ne l’aient été, vu mon côté aventureux, mais c’est différent, cette fois. Il y a quelque chose…je ne sais pas. Deux raisons possibles. La première se nomme Josh Sullivan. À chaque fois que je le vois, j’ai des envies de meurtre. Il se rapproche de Charlotte. Près. Bien trop près. Au point que, pour la première fois, je commence à m’inquiéter. Non. À paniquer. J’ai fait ce que j’ai pu pour l’éloigner d’elle, mais cela ne semble pas suffire. S’il le faut, j’emploierai les grands moyens. Charlotte est à moi. Nous sommes l’un à l’autre. C’est tout.
La deuxième raison…elle paraît presque futile à côté du cas de Josh. Il s’agit cette fois de Séraphina Black. La meilleure amie de Charlotte. J’ai tenté de la séduire lorsque nous étions en troisième année et que je commençais à déployer mes talents de séducteur. C’est l’une des… Que dis-je ? La seule fille à m’avoir résisté. Un jeu de séduction s’est mis en place entre nous. Parfois, je me dis que cela va un peu loin, je ne suis plus très sûr de ce j’éprouve envers elle. Mais ce n’est qu’un jeu. Un simple jeu. Comme toujours.

©Maat


[Désolée, Charlotte, je terminerai demain, je suis hs x) et merci encore ♥ ]


Dernière édition par Lawrence B. Berrywell le Dim 16 Déc - 23:43, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 13:58

PREUM'SSSSSSS !!!

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!! Love Gnii Charlie Cool Séra Pompom Rouge Panda Chat Superman Calin Egypte Hola Ballon Coeur Yeux Caddie Bravo Tinsley :wii: Amanda Lily Loving

Je suis tellement heureuse que tu sois là, mon cousin chéri au lien fou de fou :wii: Love

Merci mille fois à toi d'avoir pris mon scénario, je pouvais pas rêver mieux ♥️

L'autre partie de moi est là (a) Amanda

Ta fiche est magnifique, topissime, génialissime, parfaite Coeur Loving Love

Je valide ton code, et tu me harcèles littéralement de MP s'il y a quoi que ce soit, non tu me harcèles de MP tout court en fait Love De toute façon, de toi je ne m'en plaindrai jamais Love

Pas de souci pour la suite de ta fiche, j'ai hâte ♥️

Berrywell family, oh yeah Superman Cool ♥️

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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 14:08

DP, mais on est des fous ♥ ♥ ♥

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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 17:55

Ohlala, un nouveau Berrywell qui vient foutre la pagaille dans l'école !
Bienvenue, quand même Razz
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 18:11

COUSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINE! Séra Love Love Love

Ca me fait toujours autant plaisir de voir que tu aimes la fiche! =D Un Lawrence qui décevrait sa cousine, ce serait trop triste...

Tu as de la chance, je ne pense pas que je te harcèlerai ainsi! (quoique, Law en est bien capable, tu vas recevoir pleeeeeeeein de messages idiots de sa part x) ).

BERRYWELL POWAAAA!


Noah: Haha, Poudlard n'a pas fini d'en voir de belles, avec les deux cousins lâchés ensemble!
Merci Wink


Et parce que je t'aime trop: Love Love Cha!


(faut que je réapprenne les noms des smileys ici, j'ai failli l'appeler Pen à chaque fois xD)
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 18:29

Héhé, tremble Poudlard Twisted Evil Razz Love

Maintenant que t'es là, je te lâche plus ^^ ♥️

D'ailleurs, tu pourras m'écrire plein de lettres, j'ai une chouette officielle Love

(Haha pour les pseudos, mais il correspond tellement bien à Pén celui-là : Love Quand elle voit Loriân hein, pas sûr qu'elle soit pareille en voyant Lev Mdr Plutôt comme ça en fait : affraid )

On est sangs purs, riches, gallois, beaux, craints, royaux, machiavéliques Cool La classe internationale, comme toujours en fait ♥️ Cool

Moi aussi je t'aime Yeux Love
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 18:52

Tremble et incline toi, Poudlard! Cool
Je te lâche pas non plus! Et super pour la chouette, je dois avoir un hibou quelque part aussi, alors! Parfait, on va leur donner du travail, à ces charmants oiseaux, ce serait dommage de les laisser s'engraisser. Et j'ai toujours tellement de choses à te dire.

(XDD pour les smileys, c'est sûr pour Pen et Lev... En même temps, c'est plutôt rassurant, ça l'inquiéterait de voir Pen en mode Love à son sujet x) Il se dirait que quelque chose ne tourne vraiment pas rond chez elle).

On a TOUJOURS la classe, qu'on soit russes ou gallois Cool

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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 19:02

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Yeux

Lawrence !!!!!!!!!!!!!!!! Very Happy Séra Gnii Bienvenue sur le forum, tu n'imagines pas à quel point je suis heureuse que tu es choisi le scénario de Charlotte Pompom j'ai vraiment trop hâte de faire évoluer l'histoire de mon personnage avec le tien et en plus j'ai déjà trop aimé ton histoire, tu écris juste trop trop bien quoi Hola Coeur Love

Bon courage pour la suite de ta fiche et j'ai trop hâte de rp avec toi !!!!!!!!!!!! Calin Loving

(Non non je ne suis pas folle et t'inquiète pas, Séra ne saura pas comme cela en rp Yeux Tinsley )
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeJeu 13 Déc - 19:11

Merci Seraphina =D

Oui, j'ai hâte de voir ce que ça va donner nous deux aussi, ça risque d'être explosif!

Merci pour l'histoire, je suis vraiment contente qu'elle te plaise, tu fais partie des persos intéressées au scénario. J'avais l'assentiment de Charlotte, tant mieux si j'ai le tien aussi =D
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeVen 14 Déc - 21:38

Lauwrence Love Rouge Pompom Yeux
Bienvenue avec nous ! C'est un super choix de scénarios qui a fait des heureuse Razz
Si t'as une quetsion n'héste pas à me Mpotter Coeur
Bonne chance pour la suite de ta fiche
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeVen 14 Déc - 21:50

Sebastian Stan joue dans Once Upon A Time, une série trop trop trop trop trop trop bien que j'ai regardé toute la semaine (23 épisodes en 3 jours, plus précisément, j'ai donc fini la Saison 1 xD), et il a un personnage TROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOP STYLEEEEEEEE ♥

Bref, benvenido aqui baby ♥
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeSam 15 Déc - 15:04

Ah nan, pas toi ! Razz
Hey, mais c'est pas juste, à part James, les gens de Fiz semblent destinés à ne pas aimer ma Lauren... Elle est pourtant gentille, nan ? Rolling Eyes
(Ouais, je dis ça parce que je sais que Law n'aimera pas ma Serdaigle, vu le lien qu'elle a avec Cha... Shocked )

James, va falloir protéger Lauren de tous ces méchants !! tongue

Bref, bienvenue ici ! (J'espère que tu seras pas trop cruel envers Lauren, sinon, ça se payera sur Fiz, niark !)
Séra
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeDim 16 Déc - 14:13

Law Charlie Charlie ^^ Love Red Gnii Panda Pompom Rouge Bisouuus Yeah Fiona BIENVENUE !!! On va bien s'amuser Sournois Bon courage pour ta fiche Wink !
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeDim 16 Déc - 14:49

Bienvenue Pompom Qui fait des étincelles avec Charlotte en fait aussi avec moi jeune homme, je sens qu'on va bien s'entendre Sournois
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Lawrence B. Berrywell
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeDim 16 Déc - 20:52

Merci, Keelyn =D J'ai cru comprendre pour le scénar xD

James: Tu m'apprends quelque chose...je savais que Sebastian Stan avait joué dans Gossip Girl mais c'était bien tout x) Contente de te retrouver ici, en tous cas! Wink

Lauren: "Ah nan, pas toi"? Quels mots charmants, on se sent accueilli, c'est fou Razz
Pauvre, pauvre, pauvre Lauren...Elle risque d'en voir de belles, avec Lawrence! ^^ Et tu me le ferais pas payer sur Fiz, hein? Vic aime trop son cousin pour ça, n'est-ce pas? Et Cian aime tellement raconter des histoires à Leroy, il ne lui ferait pas de mal non plus... Very Happy

Josh: Merci =D Oui, on risque d'avoir des rps assez explosifs, tous les deux! Ce sera top! =D

Tahanie: Merci =)

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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeDim 16 Déc - 23:50

Bienvenue ! Pompom

Toi, je vais pas t'aimer ! Very Happy XD
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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeDim 16 Déc - 23:55

* Charlotte M. Berrywell tape Amanda : "Non mais oh, mon cousin est intouchable, tu comprends ça, Sotherby ? Et s'il ne l'est pas pour certains rares, ce n'est certainement pas pour une Bouffondor comme toi, sang pur ou non." Hum

C'est parfait mon cousin que j'aimeeeeee Yeux Love

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MessageSujet: Re: Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Lawrence B. Berrywell – « … jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre. » Icon_minitimeLun 17 Déc - 0:20

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